Commentaire adressé à un commentateur qui propose, avec l'abbé
Carmignac, « ne nous laisse pas consentir à la tentation » :
J'aime assez cette traduction. Mais comme le
remarquent justement certains (l'initiative des catholiques francophones a été
remarquée dans d'autres sphères linguistiques), triturer la traduction d'une
prière qui nous lie avec la trame des fidèles du passé n'est pas un bon signe.
Encore une fois, les versions en de nombreuses
langues européennes disent plus ou moins « ne nous induis(ez) pas en tentation
» et personne ne trouve rien à redire. Jusqu'à cette drôle d'initiative des
francophones. Cela signifie sûrement quelque chose.
Si le verbe « induire » ne convient pas parce
qu'il ne serait pas d'un usage assez courant, que penser des formules
archaïques de la version anglaise par exemple ?
Pourquoi cette rereformulation ?
Est-il préférable, au demeurant, de tutoyer ou de vouvoyer son Dieu ?
RépondreSupprimerC'est laissé à l'appréciation du requérant, pardon, de l'orant.
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